Une sournoise bouffée des bas-fonds urbains n’équivaut en rien à l’infect parfum que dégage l’édredon de déjections qui couvre les champs nourriciers des basses contrées…

 

En françâs: Les wiffs des pires racoins d’une mégapole sentent la rose à côté des hectolitres de purin qui empestent les champs de mon coin.

 

dire qu’on mange ce qui pousse là dedans…bon appétit!